Une femme est décédée par asphyxie volontaire à son domicile à Saint-Jérôme. Elle souffrait d'une maladie chronique douloureuse. Elle avait également reçu certains suivis médicaux et psychosociaux notamment pour des troubles anxieux et des idées suicidaires connues. Les circonstances entourant le décès soulèvent des questions quant à la continuité et l'accessibilité du soutien offert aux personnes en grande détresse.
[R-1] propose des mesures alternatives permettant un accès plus rapide à une thérapie de groupe de soutien axée sur la gestion de soi, afin d’offrir une réponse adaptée aux besoins des usagers.