Un adolescent est décédé par asphyxie volontaire à son domicile à Sainte-Anne-de-Beaupré. En détresse émotionnelle, il avait consulté à l’urgence deux jours avant son décès è la suite duquel il avait été dirigé vers un suivi psychosocial à court terme et un encadrement à domicile avait été recommandé. Les circonstances entourant le décès soulèvent des questions quant à l’évaluation du risque suicidaire et à la coordination des suivis pour les jeunes en grande vulnérabilité.
[R-1] veille à la mise en place d’un processus visant à renforcer la collaboration entre les services de l’urgence et de la pédopsychiatrie pour clarifier et, au besoin, réviser les critères de consultation surtout lorsque le risque suicidaire est difficile à évaluer ou lorsque le filet de sécurité établi implique une supervision parentale importante.